Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le journal du délire débile

Ce blog est préconisé en cas de dérigolade aiguë. Procure absurdités, débilités, bêtises et stupidités. Contre-indications : allergies connues à l'ineptie, à l'idiotie, à l'absurdité et au calembourlour Effets indésirables : Consternations, abasourdissements Pas d'utilisation prolongée sans avis médical.

"Bonne année" : La véritable histoire vraie de vraie de cette tradition !

Peu de gens savent d'où vient la coutume de se souhaiter la bonne année.
Voici la véritable histoire de cette charmante tradition...

Dans l'ancien temps, les bourgeois employaient des domestiques et servantes pour leur service, l'entretien de leur maison.

Et celles qui avaient un bon odorat étaient très recherchées car elles présentaient de nombreux avantages : avantage pour la cuisine, bien évidemment, afin de composer des mets parfumés, mais également des avantages certains pour le nettoyage de la maison, la vaisselle et le linge (Ah ! Cette odeur de propre !), la chasse aux rats et autres souris (y a-t-il une odeur d'urine derrière le mur ?), sans oublier la sécurité par la détection de fumée, détection de fumée ô combien appréciable en ces temps-là (est-il besoin de rappeler qu'à l'époque, les habitations étaient composées en majorité de bois et que le feu était la principale source de chaleur ?)

Les servantes ayant du nez étaient donc très prisées.
Et c'est donc tout naturellement que, lors du nouvel an, les bourgeois se souhaitaient mutuellement une "Bonne à nez" pour le nouvel an.
"Bonne à nez" qui deviendra plus tard, par les vicissitudes amusantes du langage : "bonne année !"

Voilà la véritable histoire vraie de vraie de la coutume de se souhaiter la bonne année !




(Attention cependant, mes chers amis, ne confondez pas la "bonne à nez" avec "la bonne à nénés". Cela n'a rien à voir. La "bonne à nénés" fera l'objet d'un autre développement)
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article